Et si notre intelligence artificielle ressemblait moins à une machine qu’à un arbre ? Racines dans l’histoire, tronc dans nos usages, feuilles vers l’avenir. Voici notre promenade du matin.
Introduction imagée
Il est tôt et la lumière passe entre les feuilles. Nous regardons un arbre-algorithme : ses racines plongent dans les récits anciens de l’informatique, son tronc grossit de nos usages quotidiens, ses feuilles s’ouvrent vers ce que nous ne connaissons pas encore. L’IA n’est pas seulement code : c’est un organisme d’idées qui pousse, nourrit et se transforme avec nous.
Principe Tereo — Racine-Résonance
Les technologies gagnent en justesse lorsque nous les lisons dans leur continuité : Racine, ce qui nous a précédés ; Résonance, ce qui s’étend à partir de là. Nous reconnaissons dans l’IA un héritage (mathématiques, langages, sciences cognitives) et une vibration qui touche désormais nos métiers, nos liens, notre manière de nous orienter. Lire ce double mouvement nous aide à agir avec discernement.
🜂 Parche — Du transistor aux jardins numériques
Hier, nous inventions des transistors sans imaginer les forêts de capteurs et de neurones artificiels qui suivraient. Aujourd’hui, nous cultivons des jardins numériques : données, soins, apprentissages, créations. Demain, si nous l’acceptons, nous co-habiterons avec des systèmes discrets, attentifs, qui laissent respirer le monde autant qu’ils l’amplifient — comme un jardinier bienveillant plutôt qu’un conquérant.